Manifestations Sculptures de la Gaule romaine : Fréjus

Sculptures de la Gaule romaine : Fréjus

E-exposition Octobre 2013

L’exposition virtuelle de ce mois-ci vous propose de découvrir des illustrations de sculptures gallo-romaines présentées dans une publication récente de l’Académie : le Recueil général des Sculptures sur pierre de la Gaule romaine – Nouvel Espérandieu n° IV – Fréjus.

Paris, AIBL, le 25 septembre 2013

Tête de Jupiter Capitolin Fréjus, musée archéologique, inv. no 86.1

Cette tête de Jupiter Capitolin, découverte à Fréjus, dans les thermes de la Porte d’Orée en avril-mai 1821, lors des fouilles dirigées par Charles Texier pour la municipalité. Elle s’inscrit dans les représentations de Jupiter Capitolin dont le modèle est l’œuvre de l’athénien Apollonios, datée du Ier siècle av. J.-C. Ce type connaît de nombreuses répliques à travers l’Empire romain. En Gaule, on peut citer les exemplaires de Béziers, de Vienne ou encore de Lyon ; en Italie, le Jupiter d’Otricoli, de Priverno ou du temple capitolin du forum de Pompéi. Le traitement raffiné du visage, le rendu naturel des boucles de la chevelure et de la barbe, l’orbite lisse et l’emploi limité du foret constituent des indices pour placer l’exécution de l’œuvre dans le courant du Ier siècle apr. J.-C.

Datation : Ier siècle apr. J.-C.
Marbre blanc translucide à grains fins de type Luni.
Ht tête et cou 37 cm sans le bouchon d’encastrement.
Ht tête avec barbe 33,5 cm. lg 24 cm. Ép 28 cm.
Nouvel Espérandieu IV – Fréjus : planches 1 à 3 – Notice n° 001.

Hermès bicéphale de Bacchus et de Pan Fréjus, musée archéologique, inv. no 76.10.02.

 

 

Découvert à Fréjus le 22 juin 1970 lors des fouilles de P.-A. Février, M. Janon et Cl. Varoqueaux, cet Hermès bicéphale représente, sur une face, la tête de Bacchus barbu, d’âge mûr, et sur l’autre la tête de Pan.
La découverte de cette sculpture, exceptionnelle par son style et la qualité de sa réalisation, dans un contexte archéologique du IVee siècle apr. J.-C. au sein d’une insula contenant des aménagements artisanaux implantés sur une présumée domus du Ier siècle apr. J.-C., peut paraître singulière. En effet, « la présence dans ce genre d’établissement d’une œuvre d’art telle que notre hermès est assurément inconcevable, sans parler de l’anachronisme qui en résulterait » (Brentchaloff, Hermary). L’œuvre provient donc très probablement de la domus primitive.

Datation : Ier siècle apr. J.-C.
Marbre blanc à grains fins de type Luni.
Ht 38 cm. lg 21 cm. Ép 24 cm.
Nouvel Espérandieu IV – Fréjus : planches 4 à 7 – Notice n° 002.

Tête de Minerve Fréjus, musée archéologique, inv. no 76.10.5.

Ce marbre, découvert à Fréjus au Clos de la Tour en 1970, représente une tête féminine de dimension deux fois inférieure à la moyenne. Le visage dessine un ovale, la calotte crânienne est sectionnée, formant une surface plane et piquetée, déversée vers l’arrière droit. Selon l’archéologue de Fréjus Lucien Rivet, cette tête appartiendrait à une caryatide et serait à considérer comme un élément du décor de la maison.

Toutefois, la partie arrière de la tête et sa surface piquetée nous paraissent plutôt être les traces d’un dispositif servant à fixer un élément rapporté qui devait être un casque. Nous retenons donc l’hypothèse du professeur au Collège de France Christian Goudineau qui l’identifiait comme une Minerve, ce qui conviendrait parfaitement aux traits idéalisés et à l’expression du visage.

On peut rapprocher ce visage d’une tête de Messaline, sœur de Caligula, retrouvée dans le théâtre de Fiesole (Toscane) ou encore d’une tête féminine retrouvée à Clermont-Ferrand.

Datation : Ier siècle apr. J.-C. ? Marbre blanc opaque à grains fins de type Luni.
Ht 13 cm. lg 12,7 cm. Ép 13,5 cm. Poids 4 kg.
Nouvel Espérandieu IV – Fréjus : planches 29 à 31 – Notice n° 022.

Plaque décorée de deux pieds avec baxeae Fréjus, dépôt d’État du Clos de la Tour.

Cette plaque de forme presque carrée portant sur l’une des faces un relief figurant deux pieds vus de dessus, chaussés de baxeae (sandales de luxe d’origine égyptienne) a été découverte à Fréjus, Les Aiguières, « retrouvée dans les décombres » d’un bâtiment à fonction non identifiée, lors de la seconde campagne de fouille triennale dirigée par Chr. Goudineau en 1980.
Le type d’attache par des lanières passant entre le pouce et le premier doigt est spécifique d’une sandale de luxe, dite baxea, importée d’Égypte, à prix élevé, et que l’on retrouve portée également par certaines statues de divinités. La rareté de ce motif sur des dalles sculptées en Gaule est à souligner, alors que ces représentations sur des mosaïques sont bien attestées, notamment dans les salles thermales. Cette interprétation se heurte au fait que la fonction thermale du bâtiment n’est absolument pas assurée : il ne comporte aucune trace d’hypocaustes ou d’aménagements pour l’arrivée ou l’évacuation des eaux. Aussi est-il légitime de proposer une autre interprétation pour ce motif qui ne figure pas seulement dans les thermes mais dans d’autres constructions, comme des temples. Margherita Guarducci en a donné une liste, y compris avec un exemple en Narbonnaise, au Castellar de Cadenet, qui est un sanctuaire d’origine indigène transformé à l’époque romaine et où la présence de thermes est à exclure. Elle fait observer que les Grecs ont sculpté des pieds votifs en ronde-bosse ou gravé des représentations de pieds, chaussés ou non, sur des dalles de marbre offertes à une divinité pour symboliser soit la fatigue que le pèlerin a dû surmonter pour parvenir jusqu’au sanctuaire, soit son espoir de demeurer aux pieds du dieu.
A.M. Canto est allée plus loin encore dans l’interprétation symbolique à propos de dalles en marbre trouvées à Italica en Espagne, où les représentations de pieds sont nues ou portent des sandales épaisses et sont accompagnées d’inscriptions. Elle y voit des plaques votives, émanant de grands personnages de la cité, surtout de notables évergètes ou de prêtres du culte de Némésis-Caelestis qui est parfois nommée. S’inscrivant dans une longue tradition méditerranéenne de représentations de pieds, nus ou chaussés des baxeae, et supposés être liés à la bonne fortune, ce motif témoignerait du souci « d’entrer et de sortir d’un bon pied » d’une charge qu’on a promis de bien remplir, et ce vœu est placé sous le patronage de la divinité. C’est aussi cette valeur d’ex-voto religieux que donne W. Binsfeld à la dalle votive mise au jour dans le temple de Ritona dans le complexe de l’Altbachtal, en Germanie. Néanmoins, soulignons qu’à Fréjus la plaque n’était pas accompagnée de dédicaces à une divinité comme à Italica, mais comme le bâtiment où eut lieu la découverte ne peut être défini avec précision, l’hypothèse d’une image à valeur votive n’est pas à écarter.

Datation : avant le milieu du IIe siècle apr. J.-C. d’après le contexte de découverte.
Marbre blanc translucide à grains fins.
Lg 26,5 cm. lg 25 cm. Ép 2 cm.
Nouvel Espérandieu IV – Fréjus : planche 45 – Notice n° 044.

 

 

 

 

 

 

Stèle funéraire de Julia Epicarpia avec dextrarum junctio Fréjus, dépôt de fouille du Service archéologique municipal.

 

 

 

 

 

 

La stèle funéraire de Julia Epicarpia a été découverte en 2006 à Fréjus, dans la nécropole de Saint-Lambert, lors d’une fouille préventive sous la direction de Kelig-Yann Cotto, archéologue du service archéologique municipal.

Le champ épigraphique comprend quatre lignes excentrées vers le haut et encadrées par une moulure : Iuliae Epicarpiae. / Iulius Nessus Tr(ierarchus) / coniugi fecit et / sibi uiuos.
« À Julia Epicarpia. Julius Nessus triérarque a fait élever ce monument pour son épouse ainsi que pour lui-même, de son vivant. »

Cette stèle s’inscrit parmi les cinq stèles funéraires ornées du signe de fides (cf. Nouvel Espérandieu IV – Fréjus, nos 117-119 et 224) découvertes sur le territoire de Fréjus. Plusieurs caractéristiques iconographiques communes à ce groupe de stèles sont à remarquer : la main de gauche passe sur la droite, les membres sont figurés jusqu’à la moitié de l’avant-bras et terminés en chevron vertical. La main disposée à gauche montre des doigts tendus et posés contre la paume de l’autre main. La main de droite pose le pouce sur l’index et/ou le majeur de la main de gauche, et les extrémités des quatre doigts sont visibles sous la bordure inférieure de l’autre main. Le pouce de la main de gauche est posé sur celui de l’autre main, sauf sur la stèle de la nécropole de Saint-Lambert. Les contours des ongles sont délicatement incisés. Un trait vertical ou une courbe marque la jonction entre le poignet et la paume de la main de droite.

 

 

L’image de la dextrarum junctio entre époux, particulièrement bien représentée sur les stèles de Fréjus, est un motif récurrent dans l’iconographie funéraire. L’hypothèse d’y voir l’espoir de la réunion finale des époux dans l’au-delà, après leur mort, ne semble pas fondée et est aujourd’hui abandonnée : l’exemple de la stèle de Nessus, époux de Julia Epicarpia, qui fait cette dédicace de son vivant, en donne un nouveau témoignage. Son véritable sens à l’origine a été analysé par P. Boyancé dans son étude sur la main de Fides, puis repris par les recherches de R. Turcan. Il souligne d’abord la valeur éminente de la main droite, qui était précisément consacrée à la déesse Fides, divinité d’abord protectrice des traités et des serments. L’image des mains entrelacées ne signifie donc pas le salut moderne mais demeure un geste solennel qui est l’expression de la Concordia, vertu romaine éminente qui doit régner entre deux personnages qui passent un pacte. Du domaine politique, le motif est ensuite passé à la sphère privée et particulièrement à la concorde entre les époux, mais elle n’évoque pas une scène de mariage. Dans les sarcophages et sur les stèles funéraires, elle signifie la concorde et la bonne foi qui a régné entre les époux. Les dieux eux-mêmes y ont recours et l’on voit, par exemple, sur un sarcophage d’Amalfi, Mars et Vénus, les mains enlacées dans une scène de dextrarum junctio, « car leur union garantit à Rome bonheur et sécurité » (Robert Turcan). Dans le domaine des humains, le couple qui célèbre la concordia à laquelle il est resté attaché pendant sa vie participe en quelque manière à l’immortalité que donne cet accord placé sous le signe de Fides. On en a aussi le témoignage dans plusieurs représentations mythologiques sur des sarcophages où la dextrarum junctio signifie que l’amour est plus fort que la mort, comme sur un exemplaire du Vatican. Sur d’autres monuments qui relèvent de la vita communis, on voit, par exemple, un soldat dont la vie racontée en images comporte, après ses actes de vaillance, la scène de la dextrarum junctio. Les personnages des stèles de Fréjus participent de ce même esprit en exaltant la concordia conjugale.
On notera que ce motif des époux aux mains entrelacées apparaît relativement moins fréquemment à Rome qu’en Gaule septentrionale, où il est très abondamment attesté (cf. Nouvel Espérandieu III – Leuques, 2010,). L’originalité de la série de Fréjus est que le motif ne comporte pas le couple conjugal mais se réduit aux deux mains entrelacées, la conjunctio manuum. Cette réduction à l’élément signifiant de la scène est remarquable, puisque nous n’avons recensé que dix exemples en Gaule, dont cinq pour Fréjus et le territoire de la colonie. Ces stèles ont dû être produites localement et correspondent peut-être à un phénomène de mode temporaire.

 

 

Datation : l’absence de la formule D.M. (Diis Manibus, « Aux dieux Mânes », formule généralement placée en tête des inscriptions funéraires), le soin apporté à la graphie des lettres, l’adjectif noté uiuos de manière archaïsante, sont des indices d’époque haute : époque julio-claudienne, au début du Ier siècle apr. J.-C.
Grès jaune.
Ht 126,5 cm. lg 58,6 cm. Ép 44,6 cm.
Nouvel Espérandieu IV – Fréjus : planche 79 – Notice n° 116.

 

 

Stèle funéraire de Petronia Posilia avec dextrarum junctio Fréjus, musée archéologique, inv. no 86.16.

Trouvée vers 1836 sur la via Aurelia à un kilomètre de Fréjus au bord de la route de Cannes, cette stèle de forme rectangulaire, à sommet et fronton en demi-cercle, est demeuré en très bon état de conservation. La partie enterrée, haute de 11 à 13 cm, est conservée.

Le champ épigraphique est composé de six lignes divisées en deux parties égales par une bande présentant deux mains en bas-relief qui s’étreignent. Un cadre à large bandeau lisse circonscrit le texte.
Petroniae / Tert(ii) f(iliae), Posillae, / piae. / L(ucius) Scaefius / Primus / uxori fec(it)
« À Petronia Posilla, fille de Tertius, pleine de dévouement. Lucius Scaefius Primus a élevé (ce monument) à sa femme. »

Datation : Les critères épigraphiques datent la stèle entre 70 et 125 apr. J.-C. Cette datation est aussi motivée par la présence de l’adjectif pia ; toutefois, l’absence de la formule D.M. est un élément qui permet de baisser la datation vers la fin du Ier siècle apr. J.-C. (époque flavienne), mais difficilement plus tôt.
Grès jaune feldspathique.
Ht 134 cm. lg 62 cm. Ép 26 cm.
Nouvel Espérandieu IV – Fréjus : planche 80 – Notice n° 117.

Tête d’oiseau Fréjus, dépôt d’État du Clos de la Tour.

Tête d’oiseau brisée au niveau du cou découverte en 1980 par P.-A. Février dans un niveau de recharge du IIe siècle, sur la chaussée du cardo. L’extrémité effilée du bec a disparu.
L’oiseau présente une tête étroite et allongée, et un cou très fin. L’ensemble des détails anatomiques est soigneusement exécuté. La calotte crânienne, très légèrement courbe, porte sur l’arrière une huppe rabattue contre la nuque. Les oreilles sont formées d’une dépression en goutte horizontale. Les yeux grands ouverts, aux orbites lisses, et l’arcade sourcilière proéminente donnent un regard fixe. Le bec, partiellement conservé, était long et effilé. Les narines et la base du bec sont fidèlement représentées.
Si l’on considère que la représentation du volatile est conforme à la nature, il serait possible de le rattacher à la famille des ardéidés et de l’identifier à un échassier (hérons ou aigrette garzette).
Considéré un temps comme un fragment supérieur d’un pilon (broyeur) de mortier, on peut plutôt l’identifier comme une sculpture de jardin. En effet, cet échassier est représenté sur plusieurs fresques pompéiennes figurant un hortus (jardin) privé (domus de la Vénus à la coquille, de l’Éphèbe, d’Adonis…).

Datation : Ier siècle apr. J.-C.
Marbre blanc translucide scintillant à grains fins de type Luni.
Ht 6,2 cm. Lg 9,4 cm. lg 3,2 cm.
Nouvel Espérandieu IV – Fréjus : planche 101 – Notice n° 165.

 

 

 

Cippe funéraire de C. Coelius Sestertius Callian, salle d’accueil de la mairie.

Provenance exacte non assurée, probablement Callian (église Notre-Dame-des-Roses ?).

C(aio) Coelio / C(aii) et L(ucii) lib(erto), / Sestertio / C(aio) Coelio, C(aii) l(iberto), Felici / VI uir(o), / C(aius) Coelius, C(aii) l(ibertus), Faustus / VI uir, frater, fecit.
« À Caius Coelius Sestertius, affranchi de Caius et de Lucius, à Caius Coelius Felix, affranchi de Caius, sévir, Caius Coelius Faustus, affranchi de Caius, sévir, leur frère, a élevé (ce monument). »

Cette stèle est un cippe funéraire dont le champ épigraphique est encadré d’une large frise décorée de rinceaux d’acanthes peuplés de quatre volatiles.

 

Elle s’inscrit dans un groupe de deux cippes à décor de rinceaux peuplés d’oiseaux (cf. no 245, Seillans, in Nouvel Espérandieu IV – Fréjus), produit dans un même atelier, sans qu’on puisse déterminer lequel a été réalisé avant l’autre. Ces cippes sont de provenance imprécise, mais conservées aujourd’hui dans un même espace géographique distant de quelques kilomètres dans la plaine de Fayence. Ils appartiennent à la même famille des Coelii, constituée de plusieurs seviri augustales (groupe de six (sex viri) hommes choisis par décret parmi des ingénus ou affranchis pour exercer une fonction de prêtrise annuelle du culte impérial).
Cette œuvre, ainsi que celle conservée à Seillans, est décorée selon un schéma classique hérité de l’Ara Pacis de Rome, appartenant au type des cippes funéraires à rinceaux dont le schéma entourant le champ épigraphique est déjà bien attesté à Rome, où les exemples les plus proches ont un caractère plus délié et plus élégant que les deux exemples provençaux de Caillan et de Seillans, mais c’est le même système iconographique. On comparera d’abord avec l’autel de Calamus, un affranchi de Claude, au style plus régulier, moins empâté que celui de Callian ; ou encore avec le cippe de Telegennus Anthus du musée des Offices à Florence, où l’on a le même entrecroisement des spires sur le bandeau du sommet du rinceau et qui est de l’époque flavienne ; de même, l’autel de Volusia, de facture plus naturaliste et daté d’époque flavienne ; et enfin, le monument de Sextilius Satyr qui est de la fin du Ier siècle. B. Candida en a réuni également quelques exemples qui montrent une même filiation, comme l’autel de Sallustius Hostianus qu’elle date de l’époque claudienne tardive, mais tous ces exemples, par la finesse du ductus (« tracé ») du sculpteur, par le champ clair et aéré du rinceau, par la variété des oiseaux (et même des petits animaux) qui peuplent les volutes, font apparaître les deux exemples de Callian et de Seillans comme des copies un peu appliquées.

Datation : dernier tiers du Ier siècle apr. J.-C.
Marbre blanc.
Cadre décoré : Ht 64,5 cm. lg 57 cm.
Nouvel Espérandieu IV – Fréjus : planche 107 – Notice n° 176.

 

 

 

 

Pour en savoir plus sur le Nouvel Espérandieu

Nouvel Espérandieu : IV – Fréjus

Les références des ouvrages cités dans les notices ci-dessus sont à retrouver dans le Nouvel Espérandieu IV – Fréjus publié par l’Académie des Inscriptions et Belles-Lettres en septembre 2013. Pour en savoir plus

-Une base des données du Nouvel Espérandieu – Recueil général des Sculptures sur pierre de la Gaule romaine est consultable en ligne

-Article : « La base de données du Nouvel Espérandieu : une sauvegarde de la mémoire collective », de Henri Lavagne, membre de l’Académie in Comptes rendus des séances de l’Académie des Inscriptions et Belles-Lettres, 2007, fasc. 4 – Consultable sur le site Persée

 

Pour se procurer cet ouvrage :
Librairie De Boccard, 4 rue de Lanneau 75005 Paris
Tél. 01 43 26 00 37 ; Fax : 01 43 54 85 83
Site : www.deboccard.com
Courriel : info@deboccard.com